Réflexion : Je veux encore croire en la bonté de l'homme

Nous sommes à la fin des temps, il y a trop de souffrances, trop de malheurs, trop de guerres, trop de luttes de pouvoir, trop de malentendus. Il n'y a plus de dialogue et nous ne savons plus communiquer. Trop, c'est trop ! Pour la moindre parole proférée par inadvertance ou par maladresse, l'autre se froisse, se vexe.

Les rapports sont faussés et parfois se rompent pour des futilités. Le monde est à l'envers et je médite; c'est plus fort que moi, je veux encore croire en la bonté de l'homme. 

La valise est prête à partir. J'entends déjà certains me dire - une valise ? Prête à partir ? Tu vas où Rebec ? Mais non ma valise de Mitsvot voyons, (sourire).  Je dois continuer à la remplir, chaque jour un peu, mais il faut que je la remplisse pour le long voyage qui m'attend après 120 ans (qui nous attend tous). 

Et oui ! Ce monde n'est qu'illusion et éphémère. Ceux qui courent après les vanités de ce monde, n'ont rien compris. Cela me fait penser à ce que j'avais déjà écrit à l'époque, dans mon très bel article sur Ahavat Israël, (toujours d'actualité).

En voici un extrait -  

"Chaque juif est responsable de son prochain et doit être un exemple pour les autres. Il doit se dire - Je ne suis pas meilleur que l'autre, l'autre n'est pas mieux que moi. Ce n'est pas parce que je possède plus de connaissances en Torah ou parce que je suis plus riche ou plus fort, que je dois me considérer meilleur que l'autre. Peu importe, dans le regard divin nous sommes tous logés à la même enseigne."

Rebecca Teboul

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