1. « Celui qui a fait des efforts et est arrivé à un résultat, crois-le » : il faut bien entendu accorder une place de choix à la Emouna (foi en D.ieu), à la patience, et aux prières, mais rien ne remplace les recherches personnelles. Cherchez sans cesse et ne sombrez pas dans le désespoir. Comme le Rabbi l’a écrit dans une lettre à une jeune fille qui avait ressenti du désespoir de la série éreintante des rencontres : « Il faut essayer l’un après l’autre. Au bout du compte, on est sûr de trouver un bon conjoint, et il ne faut pas reculer devant les efforts et le labeur exigés à cette fin. »
2. Quittez l’univers des films : de nombreux jeunes gens imaginent leur future vie de couple comme quelque chose qui n’existe pas obligatoirement dans la réalité. L’amour se construit, et il faut d’abord chercher un partenaire pour la vie. Voici ce qu’a écrit le Rabbi de Loubavitch à une jeune femme qui lui avait raconté avoir rencontré de nombreux jeunes hommes, dont aucun n’avait trouvé grâce à ses yeux : « Vous lisez trop de livres. Dans la réalité, même lorsqu’on rencontre un partenaire adapté, le coup de foudre ou l’estomac noué ne sont pas forcément présents. Il s’agit de fantasmes qui proviennent d’un monde imaginaire avec des sentiments imaginaires. Lorsque deux personnes se rencontrent, il peut se créer un lien ténu, comme une petite flamme. Cette flamme est un sentiment qui augmente et se renforce au cours de la vie jusqu’à devenir une flamme ardente, alimentée par le partage, l’empathie, le respect mutuel, les luttes communes face aux épreuves de l’existence, et la formation d’une cellule familiale chaleureuse : la maison. Au bout du parcours, on arrive à un point où les deux partenaires, qui ont commencé leur vie presque comme des étrangers, ne peuvent imaginer leur vie sans leur seconde moitié. »
3. Se concentrer sur l’essentiel : en cas d’hésitations, il faut mettre le projecteur sur l’essentiel, et ne pas se focaliser sur les détails. « La perfection n’est pas de ce monde, et impossible de prendre en compte tous les éléments. Si les qualités principales sont réunies, il faut renoncer à des éléments secondaires qui pourraient ne pas convenir. Ces derniers ne sont peut-être que le fruit de notre imagination. »
3. Se concentrer sur l’essentiel : en cas d’hésitations, il faut mettre le projecteur sur l’essentiel, et ne pas se focaliser sur les détails. « La perfection n’est pas de ce monde, et impossible de prendre en compte tous les éléments. Si les qualités principales sont réunies, il faut renoncer à des éléments secondaires qui pourraient ne pas convenir. Ces derniers ne sont peut-être que le fruit de notre imagination. »
4. Faire la paix avec le passé : lorsqu’on lui a posé plusieurs fois la question, le Rabbi a répondu qu’attendre longtemps avant de trouver son âme sœur vient de ce que la relation précédente s’est très mal terminée. Le Rabbi était très pointilleux sur le fait que chaque relation arrivée à son terme doit s’achever de manière respectable et agréable, sans laisser de trace de colère ou de ressentiment de la part de l’autre partie.
Envie de savoir si un coach pourrait vous aider à mieux cibler vos rencontres ? Contactez-nous!
5. Ecouter également les parents : malgré la présence imposante de l’individualisme, il faut aussi donner du poids à l’avis et au jugement des parents qui ont élevé leurs enfants jusqu’à l’âge adulte et savent ce qui est bon pour eux. « Son père et sa mère veulent évidemment son bien et l’aider. Et parfois, comme il est difficile de décider dans ce qui a trait à ces choix, il vaut la peine de se faire conseiller par ceux qui connaissent tout en détail. »
6. On n’épousera pas quelqu’un dans le but de le changerbien qu’on soit mû par une bonne intention « d’aider » l’autre partie à progresser dans la vie, le Rabbi de Loubavitch s’opposait à un mariage lorsqu’il repose sur le « potentiel » brut de l’individu. Il faut voir le conjoint potentiel tel qu’il est présentement, et se demander s’il est bien pour nous, en pesant ses qualités et ses défauts. Voici comment il s’exprime : « Il va de soi que le Chidoukh ne consiste pas à éduquer quelqu’un et à le changer du tout au tout, mais il s’agit d’édifier un foyer juif reposant sur la tradition juive, avec un homme dont la vision du monde est proche de la nôtre. »
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5. Ecouter également les parents : malgré la présence imposante de l’individualisme, il faut aussi donner du poids à l’avis et au jugement des parents qui ont élevé leurs enfants jusqu’à l’âge adulte et savent ce qui est bon pour eux. « Son père et sa mère veulent évidemment son bien et l’aider. Et parfois, comme il est difficile de décider dans ce qui a trait à ces choix, il vaut la peine de se faire conseiller par ceux qui connaissent tout en détail. »
6. On n’épousera pas quelqu’un dans le but de le changerbien qu’on soit mû par une bonne intention « d’aider » l’autre partie à progresser dans la vie, le Rabbi de Loubavitch s’opposait à un mariage lorsqu’il repose sur le « potentiel » brut de l’individu. Il faut voir le conjoint potentiel tel qu’il est présentement, et se demander s’il est bien pour nous, en pesant ses qualités et ses défauts. Voici comment il s’exprime : « Il va de soi que le Chidoukh ne consiste pas à éduquer quelqu’un et à le changer du tout au tout, mais il s’agit d’édifier un foyer juif reposant sur la tradition juive, avec un homme dont la vision du monde est proche de la nôtre. »
7. Ne pas prolonger les relations : il n’est pas bon de prolonger une relation pendant longtemps sans but. Les deux parties doivent réfléchir ensemble si elles sont mûres pour fonder un foyer.
8. Une pause peut être efficace : comment savoir si l’attirance est réelle, que l’amour est présent, qu’il s’agit du partenaire destiné ? Le Rabbi de Loubavitch a donné à plusieurs occasions un conseil simple : se séparer et couper les liens pendant une période déterminée. Si le cœur déborde d’émotion et de nostalgie, c’est le signe que vous avez trouvé votre âme sœur. « Le mariage s’étend sur une longue période, de longues années. Il vaut la peine, pour une période donnée, de ne pas se rencontrer. Cette pause mettra en valeur les sentiments réels, positifs ou négatifs. »
9. Mêler l’intellect et le sentiment : ce n’est pas seulement le cœur qui décide, ni seulement l’esprit. La décision doit provenir à la fois de l’esprit et du cœur, mais, parfois, ce qui ressemble à l’esprit est en réalité de l’ordre des émotions… il faut méditer sur ce point.
10. Penser à l’autre : « Pensez d’abord à vos amies, et, par là, vous trouverez un conjoint pour vous », conseilla le Rabbi à une jeune fille venue prendre conseil chez lui.
D'après les paroles du Rabbi de Loubavitch zat'sal
L'équipe Tov Alliance
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