Il rendra heureuse la femme qu'il a épousé


Le rav Chlomo Zalman Auerbach disait avant chaque mariage au ‘hatan, que l'obligation de la Torah est valable à tout moment de la vie du couple.

À chaque fois que nous rendons heureuse notre femme, nous accomplissons une mitsva de la Torah, et en plus de cela nous permettons (par exemple) :

1 - d’amener sur nous la présence divine, comme il est écrit : « Lorsqu’un homme et une femme vivent en harmonie, ils méritent que la présence divine réside parmi eux » (Guémara Sota 17a).

En ce sens, le géant en Torah : le Steïpler, a dit : « Si tu sais passer un moment avec ta femme autour d’une bonne glace, tu peux être sûr que D. sera à vos côtés »

2- d’attirer sur nous un torrent de bénédictions, comme nos Sages nous  enseignent : « Un homme doit toujours faire très attention au respect de son épouse car la bénédiction ne règne dans la maison que grâce à elle » (guémara Baba métsia 59a).

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A l’image d’un ustensile qui va garder la pluie qui tombe, la femme heureuse permet à l’homme d’éviter que les bénédictions lui filent entre les mains … « Nos Sages ont enseigné : « La femme, c’est son mari qui doit la réjouir » (guémara Kidouchin 34b) : c’est au mari d’utiliser sa sagesse et son intelligence pour faire régner la paix et la joie dans son foyer.

Il ne doit pas attendre de sa femme qu’elle le réjouisse par ses actes ou ses paroles, car c’est son rôle essentiel à lui d’être l’investigateur et le vecteur de la joie et de la paix. Sa femme, quant à elle, doit en être le réceptacle »

Rabbi Na’hman de Breslev zat'sal
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