Quelle «consolation» après Ticha Béav ? D'apres les enseignements du Rav Sitruk zt'l

Israël n'a pas une histoire triste, elle débouche toujours sur le bien

Dès que le jeûne de Ticha Béav s’éloigne, nous rentrons immédiatement dans la période de la « né’hama », la consolation. Le chabbat qui suit le 9 Av s’appelle en effet le « chabbat Na’hamou », et ce, même si entre les deux, il ne s’est rien passé dans l’histoire juive. Alors en quoi sommes nous "consolés" ? En fait, nous lisons lors de ce chabbat une haftara (texte prophétique) qui commence par l'expression redondante « Na’hamou, na’hamou ami yomar éloké’hem. 

Quelle « consolation » après Ticha Béav ?

« Consolez, consolez Mon peuple dit votre D.ieu ». Or lorsque le Maître de l'univers nous fait une promesse, nous savons qu'elle n’est pas conditionnée mais que c’est une certitude - une havta’ha. Nous sommes donc amplement consolés par cette parole divine. 


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