Chalom Bayit - La paix conjugale est tellement importante


L'entente au sein du couple n'est pas chose aisée. L'homme désire cela; la femme désire ceci. Le mari veut une chose; la femme en veut une autre. C'est une histoire sans fin. La Guemara Sota 17a nous fournit une information que nous ferions bien de ne pas oublier.


Selon Rabbi Akiva, lorsque l'homme et la femme se respectent mutuellement, la Présence divine réside entre eux. Inversement, lorsque le mari et la femme pensent chacun à eux – avant de penser à l'Autre – la Présence divine les quitte et “un feu les consume.” 
La Guemara apprend cela de l'orthographe hébraïque des mots איש  (homme) et אשה (femme). De fait, le Nom de D.ieu י-ה se trouve dans les mots en hébreu. Cette Présence de D.ieu est possible lorsque le mariage en est un de respect mutuel, de confiance.

Lorsque le mari et la femme oublie le but final et deviennent des être égoïstes, la Présence divine se retire. Le י-ה quitte les mots de איש (homme) et de אשה (femme). Dans ce cas,  איש devient אש (feu) et אשה (femme) devient אש (feu). C'est la raison pour laquelle – selon la Guemara – un feu consume un tel couple.
D'autre part, nous savons tous que le plus souvent, la femme a tendance à se mettre en colère plus vite que l'homme. 

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