Yom Kippour: Alors c'est bien de pardonner aux autres, mais toi, tu t’es pardonné?


Un jour, je suis tombée sur une lettre du Rabbi de Loubavich de mémoire bénie, où il était question de pardon. Cette lettre m'avait profondément troublé et à juste titre. À l’époque, il était plus facile pour moi de pardonner aux autres, que de "me pardonner".
 Je reconnais humblement aujourd'hui avoir été plus indulgente envers les autres que je ne l'étais envers moi-même.


En lisant la lettre du Rabbi, une nouvelle lumière se fit jour. J'étais déterminée à accepter mon passé et à ne plus me sentir coupable de mes erreurs passées, en me disant que tout ce qui m'était arrivé était pour mon bien. 
Les larmes coulaient et j'ai réalisé combien ses paroles, pleines de bon sens, résonnaient dans mon cœur. 


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